Cet havre de
p…(aix) oids.
Ce radeau de
t..(ranquilité) ranquilisants.
Cette maison
commode avec tous ces t..(iroirs) yrans.
Ces moments
de d…(ouceur)ouleur.
Cet endroit
d’a..(mour) mertume.
Ces liens de
f..(raternité) froid.
Ces
relations hy ..(per sympas) pocrites.
Ces instants
de j..(oie) rabat-joie et de b..(onheur) ras-l’bol.
Malgré tout
ce qui précède, Famille, je vous AIM(e)… menti.
Sans ELLE,
je ne volerai pas de mes propres AILES.
Sans CELLE
qui m’a porté, je serai tombé de ma SELLE et n’aurait eu point de cheval de
bataille ni d’ailleurs de cheveux en bataille, ni de cheveux tout court ou tout
longs. Mais pas à Toulon.
Elle, SANS
qui mon SANG ne serait ni chaud ni froid, ni ne tournerait, ni ne bouillonnerait,
et ne ferait aucun tour à CENT à l’heure. A SENS ou ailleurs.
… Alors que
j’aime beaucoup faire des tours, des petits tours et parfois des détours. A ce
propos, une fois, en voulant aller au parc, au lieu d’aller tout droit, j’ai
pris un petit chemin à gauche. C’était sympa.
On parlait
de quoi déjà ? de claustrophobie, ah non, de fa...mine, non, de fa…cochère,
non plus, de pha…rmacie, Ah … : tranquilisants, crise de nerfs, complexe,
frustrations, psychanalyse, peine au sens propre et figuré incompressible. A
oui, ça me revient : la Famille. Cet havre ... qui n’est malheureusement pas
au Havre !
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